Le passage d’un contrôle numérique à CTC est particulièrement avantageux si le modélisme ferroviaire doit encore se développer. Une autre raison pour passer à CTC peut être les balises IR, qui offrent des avantages significatifs dans la détection de position des locomotives et le contrôle automatique.

De quoi a-t-on besoin pour le CTC ?

  • Une alimentation : Ce sera la centrale numérique ou le booster.
  • Un Point d’accès WLAN: Pour les premiers essais, le WLAN privé suffit. À partir d’environ 20 modules, il devrait s’agir de son propre WLAN pour le modélisme ferroviaire.
  • Pour chaque locomotive, un module CTC-Lok.
  • Pour les aiguillages et les signaux, soit un module CTC-Weichen par élément, ou un CTC-Multi-I/O-Board pour jusqu’à 4 aiguillages/signaux.

Le fonctionnement parallèle de locomotives/aiguillages/signaux numériques et de CTC-Lok/aiguillages/signaux est possible à tout moment. Cependant, le contrôle est alors séparé par la centrale numérique et l’application CTC. Une connexion des deux mondes dans un contrôle ne devient possible que lorsque les programmes de contrôle du modélisme ferroviaire peuvent également intégrer le CTC.

Que se passe-t-il avec mes décodeurs numériques ?

Les décodeurs numériques sont remplacés par des modules CTC appropriés.

Pour les locomotives équipées de décodeurs sonores complexes, il est également possible de placer le module CTC-Lok entre la voie et le décodeur sonore. Cela présuppose cependant que la locomotive dispose d’assez d’espace pour le décodeur numérique et le module CTC-Lok. C’est souvent le cas pour les locomotives à vapeur.

Comment commencer?

La façon la plus simple est de commencer avec un kit de démarrage que nous vous fournirons, afin de vous familiariser avec le nouveau monde du CTC. Vous pouvez commencer avec un aiguillage, une locomotive ou les deux.

Dans tous les cas, vous recevrez un routeur CTC, les modules CTC et l’application CTC. C’est tout ce dont vous avez besoin, car votre centrale numérique existante ou le booster fournit l’alimentation. La locomotive CTC peut rouler sur la même voie que les locomotives numériques. Les aiguillages peuvent être alimentés par le courant numérique ou par une source d’alimentation séparée.

Et comment ça continue ?

Il existe plusieurs possibilités :

  • Vous modernisez peu à peu toutes vos locomotives, aiguillages et signaux pour le CTC et finalement, vous obtenez un modélisme ferroviaire entièrement contrôlé par le CTC.
  • Vous ne modernisez que les aiguillages, les signaux et les rétroactions pour le CTC, mais vous continuez à conduire vos locomotives de manière numérique.
  • Vous ne modernisez que vos locomotives pour le CTC et installez éventuellement des balises CTC-IR dans les rails, mais vous continuez à conduire de manière numérique.

Un soutien du CTC par le logiciel de contrôle du modélisme ferroviaire viendra et permettra alors presque n’importe quelle combinaison de commande numérique classique et de CTC. Mais nous ferons tout pour vous convaincre de la valeur du modélisme ferroviaire entièrement contrôlé par le CTC.

Que se passe-t-il avec mes rétro-signalisations?

Ici, avec le CTC, les choses sont bien plus simples : le bus de rétro-signalisation disparaît complètement. Quatre capteurs peuvent être connectés à la carte multi-I/O CTC.

Cependant, il vaut la peine de jeter un coup d’œil aux balises CTC-IR. Deux d’entre elles peuvent être connectées à un module d’aiguillage CTC ou à une carte multi-I/O CTC. Elles permettent à la locomotive de déterminer sa position et éventuellement de recevoir une commande (par exemple, signal d’arrêt à 70cm de distance). Avec les balises CTC-IR, une automatisation simple est possible sans aucune intervention de l’application.

Dans tous les cas, les informations de rétro-signalisation mentionnées sont transmises via le WLAN avec les messages de statut des modules CTC.

Pour en savoir plus sur l’automatisation, consultez l’article Conduite automatisée.